La chambre criminelle de la Cour de cassation a récemment statué dans une affaire retentissante de dopage datant de 2011.
Pour rappel, le scandale avait conduit à la suspension de la délégation des athlètes russes aux Jeux olympiques de Tokyo.
La juridiction en a profité pour rappeler un principe intangible : l’action civile n’appartient qu’à ceux qui ont personnellement souffert du dommage directement causé par l’infraction.